Vendredi 11 janvier 5 11 /01 /Jan 14:11

Voilà nous sommes en 2008 ! 

Présage: une année calme pour moi, sur la lancée de 2007, sans grands changements. Que faut-il en penser, moi qui aime les rebondissements?

 

Huit grands jours sans se voir ni pouvoir se parler vraiment, via le téléphone.  Période difficile pour moi. Le moral n’a pas cessé de monter et de descendre.

 

Le premier samedi matin de l’année, j’ai reçu un texto enflammé de LUI  Je n’ai pas répondu. J’étais en colère. Tiens, il y avait longtemps que ces espèces de bouffées de colère n’avaient plus surgi. Cela s’est senti au bout du fil vers 15h. Je me demandais bien quelle attitude j’aurais quand il serait en face de moi… Eh bien j’ai fondu, littéralement, bien sûr ! Molle comme un loukoum !

 

Pour rattraper le retard pris nous avons fait deux fois l’amour, coup sur coup. Puis encore une fois, après un bref sommeil. Tout ceci sous la couette protectrice.

 

Je n’ai pas vu la soirée passer, ni le week-end. Nous avons encore fait l’amour, plusieurs fois. Je ne sais plus exactement ni où ni comment, mais je me souviens, du soleil d’hiver dont les rayons atteignaient et chauffaient nos deux corps.

 

Moments d’amour, de courte sortie, d’échanges, de projets de travail… 

Le temps file à toute allure… C’est l’heure du départ.

 

 

 

Par Abus d'amour - Publié dans : journal intime
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Lundi 31 décembre 1 31 /12 /Déc 16:12

Je suis triste, triste à mourir.

Commencer l'année 2008 sans LUI.

Qu'est-ce que ça fait?

ça fait couler des larmes.
ça fait mal, là, au plexus.
ça empêche de se préparer pour sortir, fêter les derniers jours de 2007.
L'oublier, L'oublier...
Et aux douze coups de minuit?
L'horreur! Je n'ose imaginer:
La bouteille de champagne, devant la mer, assis, pelotonnés, j'aurais bien aimé.

Fêter une nouvelle année avec un homme qui m'aimera. Il y a si longtemps... 
C'est pour quand?
Jamais?

Par Abus d'amour - Publié dans : journal intime
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Samedi 29 décembre 6 29 /12 /Déc 13:09

15 h

 

LUI est là ! Sa casquette, emblème arboré fièrement, son gros sac de cuir noir...

Nous nous retrouvons au dernier étage de la maison.

Debout, je lui demande tout en descendant, mutine, la fermeture éclair de son pull :

_ Où  veux-tu t’installer pour travailler?

_ Pas maintenant, nous allons nous câliner un peu.

Il m’enlace.

L’idée de dire « non » aurait-elle pu me venir ? Loin de moi… Je ne peux pas lui résister.   Le frôlement de ses mains sur les pointes de mes seins à travers mon pull léger, suffit, pour que mon sexe soit inondé.

Nous nous retrouvons tous deux, torses nus, en jean. Il m’annonce tout de go, que cela me va bien. Je savoure et je descends l’escalier en prenant soin de cambrer les reins, souhaitant que son regard soit rivé sur mes fesses. 

Nous nous dirigeons vers la baignoire. L’eau est trop chaude pour moi. Je n’arrive pas à y risquer le gros doigt de pied, alors qu’il y est déjà assis !

La température étant enfin à mon gré, je m’allonge de manière à surélever mon sexe pour qu’il soit à la hauteur de sa bouche. LUI lèche ce bouton que je sens gonflé. Je m’écarte, je me dilate, je laisse s’ouvrir mes lèvres. Je me sens salope et ça m’excite. Je songe avec honte que je pourrais  uriner avec un beau jet : INTERDICTION !

 Et le désir en est d’autant plus attisé. 

Dans cette ambiance d’excitation, je prends entre mes lèvres le sexe magnifique qui se présente à la hauteur de mes yeux. Successivement, je le lèche à petits coups de langue, je le glisse dans ma bouche jusqu’à ce qu’il arrive au fond de ma gorge. A la limite. Puis je me retire pour lui laisser croire que je l’abandonne. Et je le reprends dans un va et vient langoureux.

Je laisse entendre à mon amant que j’ai très envie qu’il « pisse » sur mon ventre ou plutôt sur mon clitoris. Cette idée fait encore augmenter sa queue. Elle est là, au-dessus de moi. Je fixe le minuscule orifice, là où devrait jaillir la source. Je me caresse, j’imagine le flot chaud, ma jouissance monte ; j’attends…Mais impossible que le liquide brûlant puisse se frayer un chemin dans ce fourreau gonflé et excité. N’y tenant plus j’éclate et mon corps s’arque sous le mouvement de mes doigts.

Allongé à son tour, je profite de sa magnifique érection pour m’empaler, assise sur son ventre.

Changement de position, il parcourt de ses doigts l’endroit intime, le défendu, entre mes fesses. Il le lave, puis le lèche, essaie de l’ouvrir, de le pénétrer de sa langue douce.

Les situations deviennent acrobatiques. Il faut sortir de la baignoire pour investir le lit. Mais ma vessie me rappelle à l’ordre et mon amour surexcité, demande qu’à mon tour je « pisse » sur son sexe. Sans hésitation, debout comme une grande salope, je laisse aller un jet plein de chaleur, interminable… 

Je me souviens mal de la suite, sous la couette…

 J’ai décollé, encore une fois, tête première dans les étoiles, séparée de ce corps, réceptacle de tant de jouissances, au son du « je vais jouir . . . . .» et de nos deux râles emmêlés.

… Silence palpable, dans une demi-conscience…

 

Par Abus d'amour - Publié dans : journal intime
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Samedi 29 décembre 6 29 /12 /Déc 12:34

Le-genou-de-LUI-copie-1.jpg   

Moments à deux

 

Les soirées, les week-ends se succèdent, tous riches en effusions sexuelles, mais aussi avec des ballades, de grandes conversations, des échanges, des films DVD, regardés à deux sous la couverture polaire rose vif, et de la tendresse (jamais assez pour moi, bien sûr, l’éternelle assoiffée de caresses et de gestes tendres…).

 
"Genoux de LUI et moi"

C’est souvent en fin de week-end, là où ça va être la fin, le départ, que nous atteignons une forme de folie. Moment de communication intense par nos corps, nos sexes, nos yeux, nos paroles, nos gestes. On se lâche, on se dit toutes sortes de choses : à la fois grossières, érotiques et hardes…

C’est cela que j’aime atteindre, ce dépassement de soi. Je ne peux aboutir à ce moment magique qu’après avoir fait l’amour deux à trois fois successivement, sans se séparer. J’ai besoin de temps pour nous retrouver, nous apprivoiser, et encore mieux nous connaître. Enfin, aller loin en amour et arriver à l’extrême jouissance.

 

A chaque fois que nous sommes ensemble, je réalise combien je suis bien avec LUI. Tout me paraît plaisir. Je me sens jeune, pétillante de désirs, d’idées, de sensualité…

                                           HEUREUSE!

 

 

 

 

 

Par Abus d'amour - Publié dans : journal intime
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Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 05:23

Photos-Lauris-041.jpg

-
Comment te sens-tu dans ta maison cocon?

- Je me sens comme un papillon qui se transforme.

-Quel papillon?

- Là, est le mystère:

      § - Papillon de charme, frivôle, qui ne pense qu'à se rendre sexy pour plaire aux hommes?

     § - Papillon copain, qui écoute, qui donne son avis, qui ne fais pas l'amour? Il ne faut pas dépasser les limites: provoquer la sexualité pour donner quoi? Un moment de jouissance? Et toi, papillon, tu y laisses tes couleurs, ton éclat.

          § - Papillon préféré, qui aime tant et qui aimerait être aimé. Qui voudrait resplendir dans les yeux et le coeur de l'autre, qui désirerait le séduire, lui plaire afin de devenir 

SON INDISPENSABLE.

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Samedi 10 novembre 6 10 /11 /Nov 16:25

Dimanche 4 novembre

Je suis à Ix, sur une place qui m'avait parue immense avec ses étalages de brocante.

C'était un dimanche de mai et LUI m'accompagnait. C'était notre premier week-end où nous étions seuls tous les deux. Je me souviens, j'étais en blanc et noir. Plutôt blanc. LUI aussi. Il portait un pantalon de toile, léger. Je l'imaginais, nu, dans ce pantalon. 

Aujourd'hui, je suis en beige et noir. Beaucoup de noir. Il fait bon, le soleil n'est pas trop chaud et le vent déplace mes cheveux autour de mon visage. Ix me paraît vide. Avec moins de charme. Je n'ai pas retrouvé le parking aux cerisiers.

Des couples bien habillés passent. Ils sont par deux. Ils sont amoureux. Ix est fait pour ceux qui s'aiment. Et moi, isolée, sur mon banc, je me sens un peu pièce rapportée dans le paysage.

Ce dont je me souviens encore c'est le bonheur, la joie, tout étant beauté, plaisir, découverte, guidée par LUI. Mais aussi l'angoisse du retour, vers ce mari qui nous avait fait nous rencontrer et qui voulait nous séparer.

Aujourd'hui, quel chemin parcouru! Si je me retourne, j'aperçois au loin déjà, la séparation du couple de plus de vingt années communes . Je vois mes colères s'espacer, plus de douceur, de sérénité et du bonheur. Oui, du bonheur, par intermittence. De toute façon, le vrai bonheur, c'est par alternance. L'incroyable bonheur, c'est quand LUI se trouve à mes côtés, lorsqu'il a un peu de temps.
Et ce dimanche, seule à Ix, je n'ai pas le courage d'entrer dans les galeries, ni dans les échoppes à touristes.

Le téléphone... Dans ma hâte, j'appuie sur la mauvaise touche. Je rappelle... c'est LUI.  



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Vendredi 2 novembre 5 02 /11 /Nov 00:00

Une grande histoire: ma rencontre avec LUI

"Le lundi 5 mars 2007

 

C’est parti ! Nous avons rendez-vous au bar de la Rotonde avec ???

Mon mari et moi entrons à l’intérieur où toutes les tables sont prises (pas si chaud que ça dehors). Une serveuse nous donne enfin accès à une table ronde.

Mon mari disparaît. Je suis un peu inquiète car il est 19 h et j’ai horreur de faire attendre les gens. Je n’ai pas le numéro de téléphone de notre inconnu.

Enfin retour… communication téléphonique… J’aperçois un morceau de cuir noir qui s’engouffre à l’opposé de notre table. J’expédie l'époux pour qu’il aille récupérer le blouson noir. Grand, mince, sac à dos porté avec aisance, petites lunettes et d’un abord sympathique. La conversation s’engage rapidement.

Ambassadeur pour nous deux, porto pour « LUI»

Notre conversation reste floue dans mon esprit. J’ai parlé de moi, avec fougue. Mes activités et mes projets. Etonnée je vois mon mari qui s’intéresse. Un certain courant de sympathie s’instaure entre LUI et moi. Je regarde plus attentivement son visage et je lui trouve du charme. Il nous a expliqué son travail, mon époux a parlé de lui, à son tour, et de ses occupations dans la vie.

Après de multiples discussions, nous décidons d’aller manger à l’extérieur.

LUI nous fait découvrir un bar à vin très sympathique et qui mérite d’être connu.

L’instant magique qui a débuté vers 19h05 se prolonge.

A quel moment j’ai vu ses mains ? Est-ce lorsqu’il passait ses doigts avec douceur sur les miennes ? Longues, fines, élégantes… je crois que j’ai pensé aux caresses qu’elles pouvaient prodiguer sur mon corps…

Nous avons quitté le restaurant, il nous a accompagnés sur le parking. Nous nous sommes embrassés (je pense que c’est moi qui ait levé le visage vers lui). Nous en avions envie. Les baisers auraient pu se prolonger… Nous nous sommes promis tous les trois de nous revoir.

 

Le samedi et le dimanche 10 et 11 mars

 

Nous devons passer le week-end ensemble, en s’étant dit que chacun était libre de dire « stop ».

J’étais heureuse de le revoir et pleine d’espoir pour cette soirée.

J’avais tout calculé : le timing de la cuisine, la déco de la table, l’ambiance de la maison.

Je portais une robe noire, opaque, mais très décolletée au niveau des seins et du dos. Des talons « Salomée », des bas ornés d’une large dentelle et un string. J’avais préparé cette tenue dans ma tête en espérant le séduire. Puis, c’est une robe qui me porte chance.

 

Dans l’encadrement de la porte je LE vois, un énorme bouquet de roses rouges d'une main, une bouteille de champagne de l’autre. Je l’entends me dire en tendant les fleurs: « je les ai achetées à la Rotonde ». Tout était symbole : la couleur et le lieu. Je ne pense pas avoir réalisé immédiatement de quelle délicatesse et de quel raffinement il était pétri. Je ne savais plus ou donner de la tête, en fait, très troublée.

 

Il me semble que l’apéritif a été corsé de quelques abandons tendres et sexuels sur les canapés. Je n’en suis plus certaine. Le repas a été entrecoupé de pauses érotiques. J’étais dans un autre monde, un monde de douceur, de caresses et de jouissance éclatante. LUI m’a demandé de ne pas me déshabiller complètement. A chaque épisode érotique, il ôtait quelque chose. J’ai fini nue dans le lit entre deux hommes pour dormir…mais pas avant un nouvel assaut de mes deux amants. Mon mari s’étant endormi, nous nous sommes caressés et embrassés. Je crois que nous avons dû sommeiller légèrement. Le matin venu, nous avons recommencé à nous aimer, je dis bien aimer car ce n’était plus du simple échangisme.  Mon mari l’a ressenti car il s’est senti frustré et s’est chargé de nous le faire comprendre.

Après le petit déjeuner, départ à trois, pour "un port". Sous un ciel nuageux, LUI, et moi, en jean et cuissardes, avons arpenté un quai ou deux, pas plus, heureux, sans se l’être dit, de se retrouver seuls. Aucune caresse, aucun frôlement, nous avons parlé, parlé…. nous immobilisant tout à coup au milieu de la foule qui passait à droite, à gauche. Nous gênions. Après avoir rejoint mon mari pour nous restaurer, c’est le retour à la maison et de nouveau nous nous retrouvons sous la couette.

C’est la fin du week-end, mon mari propose à LUI de revenir la semaine prochaine. Il réserve sa réponse connaissant maintenant les dissensions qui existent dans notre couple."

Il est revenu le week-end suivant. J'ai eu un cadeau: une écharpe verte en soie pour aller dans le désert. Je la porte toujours avec beaucoup d'émotion. Ce fut encore magnifiquement intense, sinon encore davantage. Mon mari se montrant de plus en plus jaloux: il voyait bien ce qui se passait d'inéluctable.

Je suis partie...

 
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Mercredi 31 octobre 3 31 /10 /Oct 12:22

Midi.

Le soleil filtre joyeusement entre les maisons de pierre et les branches d'acacias. Les cloches sonnent les douze coups.
Mes bras, mes jambes tremblent à l'intérieur de mon corps. J'ai du mal à contenir mes doigts et à les obliger à tenir le crayon. Je suis pleine de LUI, de son odeur poudrée, celle des houppettes en duvet de cygne des grand-mères, que je retrouve au creux de son cou, et de ses arômes épicés, tapis dans les plis de l'aine. 
Mes lèvres n'ont pas besoin de botox. 
Mon sexe garde la sensation de la grosseur de sa queue, la caresse de son gland. 
Mon ventre a reçu le martellement jouissif qui me fait partir dans mon "no mans'land". 
Mes doigts et ses mains nous ont fait éclater ensemble, tous les deux excités par la vue de nos sexes mouillés et turgescents que nous caressions de plus en plus vite. 
Nous sommes retombés anéantis sur le matelas.

Il est vite parti...Heureux tous les deux d'avoir assouvi notre désir de l'un et de l'autre. L'est-il, en ce qui me concerne, l'insatiable de LUI?

Je reste là assise à ma table, le regard perdu sur une fenêtre aveugle, encadrée de vigne vierge. L'image de ses fesses offertes, de ses reins creusés, de son trou secret en demande de ma langue, est imprimé dans ma tête. Ses yeux, quand il me regardait pendant qu'il me lèchait, et qu'il voyait monter mon plaisir, me pénètrent  encore.

Folie d'une heure, un entre 11 et 12, intermède délicieux, précieux...

Je suis là, il est parti.


Photos-Lauris-047.jpg

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Mercredi 31 octobre 3 31 /10 /Oct 00:57

Photos-Lauris-006.jpg













Dernier dimanche de ce merveilleux mois d'octobre.


Après l'angoisse de l'attente, le bonheur du coup de fil vers midi. LUI, vient! Pour manger, sortir, baiser...? Ce fut pour manger et s'unir  au soleil d'octobre sur le sol de terre cuite. Merveilleux, avec la vue sur le ciel bleu, le feuillage carmin et vert. 
Plus il me prend et plus j'ai envie.
Nous avons recommencé à 17 h, à l'heure du goûter... 
Je l'aime. J'en ai de nouveau la certitude en ce dimanche d'automne. 
Nous faisons bien l'amour et nous aimons ça. Ce n'est pas qu'une question de taille de sexe. C'est aimer chaque partie du corps de l'autre, chérir les petits creux, s'émouvoir de la douceur d'un coin de peau, être sublimé par l'odeur intime, le goût du liquide secret. C'est l'excitation, la demande, le besoin, l'appel des sens.

C'est un désir irrésistible et insatiable de l'autre.

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Jeudi 25 octobre 4 25 /10 /Oct 00:29

Que veut dire "à bientôt"?

Pour moi c'est peut-être que l'on se reverra... peut-être ou peut-être pas.

J'ai mal. Je l'aime mais je ne sais pas ce qu'il pense de nous deux. 

Je n'entends jamais "je t'aime", "je suis bien avec toi"...Je suis seulement certaine qu'il aime faire l'amour avec moi.

Je me calme, j'essaie d'être moins folle de LUI, moins en demande, mais j'en voudrais davantage. Plus de tendresse, plus de besoin de moi, plus d'AMOUR. 

J'ai l'impression de devenir indifférente. Mais je sens au fond de moi cet immense amour qui voudrait le rendre plus fort, plus sûr de lui, l'accepter avec ses petits travers qui n'en sont pas pour moi. Si seulement il pouvait m'aimer.

Cela fait huit mois que chacune de mes pensées vont vers LUI. Cinq mois qu'il ne me dit plus qu'il m'aime et que je suis en attente de ces quelques mots. Je les lui mendie presque. Je demande l'aumone. 
QUELLE HONTE. Je me connais, je suis incapable d'aimer longtemps sans retour et en m'abaissant.
Je sens que je dois m'éloigner, devenir indifférente, ne plus l'appeler au téléhone, ne plus lui écrire des e.mails.

Ce soir il est venu. Nous avons fait l'amour. Il a dormi un peu. 

IL EST PARTI...
"A BIENTÔT"!!!

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