Mercredi 20 février 3 20 /02 /Fév 17:28

Le week-end n’a pas débuté par des assauts sexuels.

 

C’est plus tard, après le repas du soir que j’ai désiré le provoquer du regard, avec mes épaules dénudées par le décolleté bateau de mon pull. Cela a débuté par des caresses tendres sur le visage, le cou, les épaules, les cheveux. Entre toi et moi, j’’ai savouré bien entendu. Nous avons fait longuement l’amour, très longtemps ; comme jamais encore, je crois. Il est arrivé à se contrôler indéfiniment. Il a finalement éclaté dans ma bouche. C’était très fort pour lui. Moi, il m’a fait jouir de toutes sortes de façons. Il m’a donné des ordres : « Pince moi les tétons, lèche moi les couilles, mes lèvres, mes doigts qui ont été dans ta chatte, crache moi dans la bouche ». J’ai été très docile et obéissante. J’étais inondée, évidemment. Son sexe est vraiment adapté au mien. Je peux rester des heures, je trouve du plaisir et ne me lasse pas. Nous nous sommes donné le meilleur de nous même. Nous avons envie d’aller très loin en amour, d’être impudiques, faire ce qui est interdit (dans notre tête) ou que nous n’avons jamais fait.

 

Le dimanche matin, en nous réveillant côte à côte, nous avions déjà envie l’un de l’autre. Il bandait quand il a ouvert les yeux. Il m’a pénétrée et c’est lui qui me dominait. Il faisait de moi ce qu’il voulait, j’étais virtuellement sa prisonnière, mes mains ligotées aux barreaux du lit. Il n’a pas joui. Il s’est retenu.

Dans la salle de bain, je le rejoins, alors qu’il sort de la douche. J’avais mis une robe longue et souple, sous laquelle on devine la rondeur de mes fesses. Soudain, je ne peux m’empêcher de le plier en deux, afin qu’il tende son cul vers moi et j’ai léché ce qui est interdit mais qui m’attire. C’est ce qu’il aime et qui l’excite beaucoup. Il répète : « tu me lèches le cul, tu me lèches le cul… »Son cerveau fantasme… Sur le lit, je pénètre ce trou mystérieux avec mon doigt enduit de gel. Je caresse ses bourses gonflées, je le branle alternativement. Il tend ses fesses, il appelle la caresse en ondulant. Il me demande de me mettre sur lui dans la pose du 69. C’est robe retroussée sur les reins, qu’il a léché mon orifice secret à son tour. Puis, il pénètre à la fois mon anus et mon vagin.de ses doigts Et moi je me masturbe. (J’ai pris conscience que j’appréciais la pénétration anale quand elle est accomagnée d’autres jouissances). Je jouis très fort. Lui, ensuite, éclate en se branlant. J’ai vu son sperme crémeux jaillir du minuscule orifice et couler sur son ventre.

 

C’est la dernière fois que nous avons fait l’amour. 
Il est parti dans le crépuscule.

Par Abus d'amour - Publié dans : journal intime
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Lundi 4 février 1 04 /02 /Fév 11:56

Je porte l’étiquette d’un couturier italien, coupe près du corps. Je frôle sa peau. Il aime le contact de ma pure laine et la douceur de ma maille.

 

 Il m’a enfilé, avant le rendez-vous, en pensant au côté érotique que pourrait provoquer la surprise lorsqu’elle descendrait la fermeture éclair.

 

Elle a… descendu doucement la fermeture éclair qui résistait un peu. Juste ce qu’il faut pour maintenir l’attente .Je m’ouvre lentement sur les doux poils de son torse, je laisse apparaître les deux boutons de ses tétons. Ses mains, à elle, se glissent, caressent son torse, passent tendrement sur les pointes de ses seins. Ses lèvres et sa langue érotisent ses sensations.
Zip...la fermeture éclair est remontée, le laissant sur des envies sous-jacentes.

 

Il attend en silence. Quoi ? Il désire ardemment qu’elle m’ôte, ou plutôt, qu’elle m’arrache... Qu’elle découvre la grosseur de son sexe qui jaillira de l’ouverture du pantalon... Il a envie de se laisser faire, corps offert. Qu’elle le morde, qu’elle le suce avec avidité, qu’elle lui ordonne de la lécher, qu’elle s’empale, son sexe largement ouvert sur son ventre, qu’elle lui immobilise les mains, qu'elle lance des mots crus, qu’elle provoque sa jouissance juste à la limite du néant de l’éclatement. Longtemps, longtemps…

 

Il lit, assis sur la couette (comprend-il ce que ses yeux déchiffrent ?). Je suis sur son dos, bien fermé.

 

Elle surgit dans la chambre…

 

Et je suis… LE GILET.

Par Abus d'amour - Publié dans : journal intime
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Dimanche 3 février 7 03 /02 /Fév 23:47

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LE VOILA ! 
Dans le noir, sur le pas de ma porte, feutre et manteau, chemise à rayures et cravate ornée d’une épingle. Silhouette chère à Magritte. 
Il est beau, je suis belle. C'est ce que nous nous disons tendrement.

 

C’est son anniversaire…

Il découvre son cadeau. Tout valse : veste, chemise, cravate. Il enfile la chemise neuve et le gilet achetés par mes soins! Tout lui va magnifiquement bien ! Ouf 

Il garde l’ensemble pour sortir.

 

Et, c’est, juchée sur mes escarpins, en tailleur mini-jupe, bustier, porte-jarretelles et bas noirs, accrochée à son bras, que nous avons fait notre entrée dans le restaurant.

 

De retour, champagne et caresses. J’ai sucé, léché son sexe toujours avec le même plaisir. Son doigt me pénétrait, j’étais trempée, je ressentais un désir fou, désir qu’il avait encore excité, en mordant mes fesses, mes épaules, mon dos. J’adore. Son sexe était gonflé, énormément, preuve que je ne le laissais pas de glace. Il m’a pénétrée longtemps, en levrette, en écartant mon string, les yeux rivés sur mon porte-jarretelles. Tout ceci, après avoir patiemment dégrafé le bustier rouge et noir. Nous avons explosé, exactement au même moment, ensemble, dans une superbe communion. Transportés par le son de nos râles, devenu symphonie d’amour, nous avons triomphé une fois encore.

 

J’étais épuisée, lui aussi. Je crois que nous nous sommes endormis, un peu.

 

Soudain, LUI s’éveille et décide de partir. Je n’ai pas envie de bouger, je veux rester sous la couette dans ma demi-conscience. C’est LUI qui éteint le chauffage, range la bouteille de champagne… Je l’entends fermer la porte. Plus rien.

 

Je reprends conscience le matin, avec les rayons du soleil. HEUREUSE, emplie du souvenir de la silhouette de l'homme de Magritte.

 

 

 

 

 

Par Abus d'amour - Publié dans : journal intime
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Mercredi 30 janvier 3 30 /01 /Jan 13:11

 

 LUI est venu dimanche soir, avec son sac noir (voir article le sac noir )

Surprise… petit bonheur qui touche le fond du cœur…

Après un repas tardif, sur fond musical, nous nous sommes couchés et nous avons fait l’amour. J’ai encore été admirative devant ce sexe merveilleux qui m’apporte tant de plaisir. Mon sexe à moi, qu’ « il aime autant que j’aime le sien », était encore une fois hyper réceptif. Ce fut un moment fabuleux à la suite duquel un profond sommeil nous a envahis… Sentiment d’un bonheur serein.

Je me souviens d’une tendre caresse sur la joue, de regards profonds, de sa barbe naissante, comme j’aime, qui râpait légèrement ma main.

Le matin nous nous sommes réveillés l’un à côté de l’autre. C’était si bon de me blottir contre lui, de mêler mes jambes aux siennes. Allongée sur le dos, il a caressé mon ventre de sa main douce. Mon corps a tout de suite répondu oui. Je le désirais. Mes doigts s’étaient promenés sur sa peau douce, sur la pointe de ses seins. Mes lèvres avaient piqueté son torse de baisers légers. J’avais palpé ses muscles doucement pour faire le plein de sensations, pour en garder le souvenir, quand je serai seule. Je le représenterai sur ma toile de peintre ou je modèlerai ses creux et ses rondeurs dans l’argile avec jubilation... Encore un petit bonheur

Hier, j’ai retrouvé LUI sur un parking dans le but de faire un achat assez important . C’est lui qui a proposé de venir avec moi, c’est lui qui se préoccupait de ma santé : je ne devais pas prendre froid avec mon décolleté. J’ai ressenti toute sa tendresse au moment de se quitter... 

Les petits bonheurs s’accumulent comme des perles sur le fil d’un collier. 
A garder précieusement…

 

Je dis merci à LUI pour ces merveilleux moments qu’il m’apporte. Je n’ai pas en mémoire la trace d’instants aussi pleins de ce bonheur irradiant.

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Dimanche 27 janvier 7 27 /01 /Jan 08:32

Mes-pens--es-3.jpg

Conjuguer le verbe AIMER 

Pourquoi ton absence est-elle si dure à supporter ? Pourquoi après avoir passé quelques heures avec toi je suis sereine et pleine d’envie de bouger, de faire, d’aller de l’avant ?
 Et puis, … trois jours sans toi, et c’est la Bérézina. Je me sens seule, triste, abandonnée. J’ai beau essayer de me raisonner, de voir le positif de notre relation, de la vie que j'ai choisie, je n’y arrive plus...

 

Est-ce moi qui en demande trop ? Est-ce anormal d’aimer et d’avoir besoin de l’autre?

Mais alors aimer sans rien attendre en retour? Est-ce possible?

 

J’AIME MAL, TRES MAL. 

Par Abus d'amour - Publié dans : journal intime
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Lundi 21 janvier 1 21 /01 /Jan 11:02

LUI a le droit d’avoir peur d’attraper de l’herpès.

Et pourtant, aux mots « moi aussi » voulant dire : moi aussi je pense que je peux être contaminé par TOI, mon cœur, ma tête ont reçu une onde de choc terrible. Même si une petite voix me disait, continue, profite, prends du plaisir à faire l’amour… Je n’ai pas pu. Ma tête était envahie par « Bien sûr, il ne t’aime pas. Tu le savais. Tu voulais être lucide, et bien voilà, tu as matière à l’être
Et ça tournait, et ça tournait...Je ne voyais que cela : IL NE T’AIME PAS SUFFISAMMENT POUR..
Ces mots défilaient en boucle.

Et oui, moi je l’aurais embrassé quand même, effectivement. Là, est la différence. 

Mais il a le droit. Le droit d’être lui et d'avoir peur. 

Et puis TOI, tu es bien orgueilleuse ! Comment peux-tu croire que ton charme soit tellement irrésistible que l’autre accepte que tu le contamines !!! 

Je suis restée sous le choc toute la journée. 

La nuit a été de bon conseil. 

Devenons enfin réaliste et philosophe !

 

Par Abus d'amour - Publié dans : journal intime
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Lundi 21 janvier 1 21 /01 /Jan 10:04

Seize heures !                                                  clocher-2-copie-1.jpg

Sur le balcon du 3ème étage, il fait bon rêvasser. 

J’écoute les bruits de vie : les portes qui grincent, les loquets qui claquent, les bribes de voix. 

A l’est, le ciel paraît brumeux. Pollution rosée sur la ville ? Mes yeux parcourent 180° de forêt de toits, habillés de tuiles anciennes. Les rayons de soleil tardifs jouent avec les ombres moussues. Le ciel est d’un bleu que nul peintre n’oserait mettre sur la toile, sauf Turner peut-être. 

L’air est si doux. Je m’attarde. 

Le clocher dont le campanile pourrait contenir le gros bourdon de Notre Dame, sonne avec sa mini-cloche tronquée. 

J’aimerais tant partager cette maison, ces moments magiques avec
quelqu’un que j’aime et qui m’aime.

 

               Mes petites pensées jaunes m’observent de leurs yeux pourpres.

Par Abus d'amour - Publié dans : journal intime
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Mardi 15 janvier 2 15 /01 /Jan 17:51

Lundi matin, je me suis levée, sereine, la tête pleine de souvenirs du week-end, avec l’envie d’écrire.

 

Dimanche, nous avons fait une séance « dessin ». LUI posait, nu dans des attitudes diverses.

 

J’ai appris qu’il croyait à ma « professionnalité » pour le choix des postures. Cela m’amusait. Sexuellement, apparemment, la situation ne l’excitait pas. Il respectait mon travail. Adorable ! Il ne s’aime pas : ni son visage, ni son corps. Il a tort. Moi il me séduit et m’émeut jusqu’au fond de mon être.

 

J’ai adoré ces instants. Je le modelais  comme j’avais envie et pourtant je désirais aussi qu’il prenne une position qui lui était propre pour capter avec mon crayon, un peu de LUI et de sa personnalité. Mes mains le touchaient, je fondais à la vue de son corps offert à mon regard. J’avais beaucoup de plaisir à faire apparaître sur la feuille le modelé de ses muscles déliés, la courbe de son épaule, la rondeur de ses fesses.  Mes yeux s’enivraient de la douceur des creux ombrés que faisait apparaître la lumière du soleil. Je ressentais une jubilation lorsque j’arrivais à faire ressortir le trait juste. Pour moi, ces séances, c’est l’appréhender, aller plus loin dans son intimité, graver le souvenir de son corps, bien mieux qu’une photo. Ses lignes épurées, ses formes douces, le grain et la couleur de sa peau, je les tiens au creux de ma main, au bout de mes doigts et dans ma mémoire.

 

Nous n’avions pas fait l’amour depuis plus de deux jours. Nous avions dormi côte à côte, déjeuné en tête à tête, croisé nos présences. Je désirais savourer cette attente, faire durer l’incertitude. Quand l’autre ferait-il le premier pas ? Ce fut LUI !

 

Déshabillé, allongé sur le dos, étendu au soleil sur les coussins du canapé il m’a demandé d’agir et de diriger. Cela convenait à mon état d'esprit du moment.

Alors, j’ai léché ses bourses gonflées, j’ai caressé son sexe de mes lèvres et de ma bouche. Longtemps…Il me murmurait « j’aime ça, tu sais ».

 

Je lui ai ordonné de se mettre à plat ventre, de redresser ses fesses et de creuser ses reins. Cette position me fait tellement fantasmer ! J’avais la  magnifique vision de son cul et je n’ai pu m’empêcher de passer ma langue sur cet orifice secret et défendu. Je l’ai mouillé de salive, j’ai mis mon doigt. Sa croupe ondulait sous le plaisir…

 

Enfin, je l'ai obligé à  se retourner de nouveau. J'ai savouré le parfum poivré du creux de ses aines. J’ai embrassé passionnément son ventre, j’ai titillé de ma langue la pointe de ses tétons qui se sont érigés sous la caresse, j’ai mordillé ses épaules blanches, son cou, ses lèvres…

 

Retirée, ma robe sous laquelle j’étais nue, envolés les leggings pour me coller à lui. Il m’a proposé de me masturber avec son ventre. Mon sexe a été rapidement excité, mouillé et large. En me plaçant à genou au-dessus de sa bouche, je lui ai ordonné de lécher mon clitoris. Sous la douceur et à la fois la fermeté de sa langue, l’envie d’éclater montait, montait, accompagnée de ma litanie de jouisseuse.

 

En me reculant, j’ai pris son sexe et je l’ai frotté contre le mien. De ma main je dirigeais la caresse en un va-et-vient, entre mon bouton et mon vagin. Le bout de mes seins s’affolaient contre la paume de ses mains. Toujours à genou, au-dessus de son ventre, je me suis caressée sous son regard. Il me regardait en se branlant. Je ne voyais pas, mais je devinais. J’ai joui violemment en rugissant. Empalée rapidement sur sa queue, je me suis de nouveau branlée pendant qu’il allait et venait dans mon sexe, je voulais jouir encore et encore... J’ai abandonné pour coller mon torse contre son torse, seins contre seins, pour que nos lèvres se rejoignent. Nous avons alors explosé très longtemps, très fort, éblouis...

Le soleil riait.

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Mardi 15 janvier 2 15 /01 /Jan 15:44
J'écrivais:

 

« Accepter LUI tel qu’il est. L’accepter et être clairvoyante  Je sais maintenant qu’il n’y aura pas de changements. Il y aura toujours des départs. Sans espoir, est-ce que je vais être assez forte pour continuer, l’aimer suffisamment pour ne pas me lasser? »

 

C’est en dessinant le « ? », à la fin de cette phrase que l’on a frappé à la porte.

Stupeur :     C’est LUI!

 

Un peu gênée de me retrouver devant lui en tenue de nuit d’hiver, telle que je suis sortie du lit. Je ne décrirai pas, mais vous devinez l’élégance et le sexy…

 

J’ai été immensément surprise et heureuse.

 

Nous sommes passés directement par la case DOUCHE. LUI a participé à mes ablutions, après la vue sur le reflet de mes fesses et de mon dos dans le miroir. Evocation d’un tableau: « nu à la toilette ».

Sortie de la baignoire, nous nous sommes étreints dans la salle de bain. Torse contre torse, bouche contre bouche. J’ai défait son pantalon et j’ai fait surgir son sexe sublime et tendu comme un arc.

Il m’a prise alors que j’avais posé un pied sur le lavabo pour mieux m’ouvrir. J’ai été mouillée, très vite. J’aspirais son sexe dans le mien largement ouvert et je le voyais aller et venir. Je sentais sa grosseur, son gland qui allait au fond de ma cavité secrète. Un peu fatiguée par la position grand-écart, je me suis retournée, j’ai appuyé mes mains sur le lavabo. Il m’a pénétrée par derrière. Nous pouvions nous regarder dans la glace. Voir nos visages, mes seins, son torse, ses mouvements de ventre. A certains moments nous n’étions relayés que par nos deux sexes. Nous fermions parfois les yeux pour mieux nous concentrer sur notre plaisir. J’étais immense et très lubrifiée, alors j’ai serré les jambes et contracté mes muscles. LUI se trouvait continuellement au bord de la jouissance, sur le fil du rasoir.

 

Nous sommes allés à la case COUETTE. Je l’ai chevauché. Nous nous triturions la pointe de nos seins et nous avions ainsi l’impression que l’autre faisait ressentir ce que lui-même ressentait. Nous partagions mutuellement le plaisir et l’excitation que nous éprouvions. Généreux et superbe échange. Toujours à cheval sur lui, mais au-dessus de son visage, il m’a léchée. Je sais qu’il aime voir mon sexe ainsi. J’ai joui plusieurs fois, au bord de l’éclatement. Puis il s’est branlé pour mon plaisir, pour le sien et il a éjaculé dans ma bouche. J’ai avalé avec gourmandise. Sa liqueur n’a pas de saveur forte et amère. Elle est douce à ma langue, un peu salée. Sa jouissance a duré. Je ressentais beaucoup de joie à voir son délire.

 

Nous avons fait l’amour pendant plus d’une heure.

 

Et c’est le retour encore une fois, à la case DEPART

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Lundi 14 janvier 1 14 /01 /Jan 08:00
Il est 7h30. Je suis encore dans les brumes du sommeil, dans mon pyjama rose, tu sais celui qui me fait ressembler à un bonbon. Dès que j'ouvre les yeux c'est à toi que je pense. Et oui, une vraie maladie! Je pense à notre réveil. Comme il est bon cet instant où nos regards se croisent pour la première fois dans la lumière du matin. Je cherche alors avec ma main la chaleur de ta peau, puis je vais me renseigner, subrepticement de l'état de ton sexe. J'aime être surprise quand il est dressé sous les draps. Je me demande toujours quel est le miracle qui fait que votre sexe est en pleine forme le matin.
J'ai encore passé un magnifique week-end à tes côtés. Un week-end bien rempli, je regrette qu'une chose, c'est de n'avoir pas fait davantage l'amour. Mais le temps encore une fois a si vite filé. On n'arrive pas à tout caler dans ces heures pleines de toi.
 Voilà, je ne suis pas triste. Ce matin, je suis agitée par l'envies d'écrire , de peindre pour retrouver tes courbes, tes lignes et tes formes déliées. J'ai la tête remplie des souvenirs de ces doux instants, faits de petits riens émouvants, mais qui mis bout à bout font que je suis heureuse. 
Le ciel me paraît chargé de nuages. Il fait bon dans la maison. Mais tu n'es pas là et j'ai envie de TOI.  Les cloches sonnent. Tu les entends?
Par Abus d'amour - Publié dans : journal intime
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